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Revue de presse IA (intelligence artificielle)

intelligence artificielle image L'Intelligence Artificielle révolutionne la GPAO en 2024 : Tendances et innovations

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Les actualités intelligence artificielle (IA) de 2024 :​

Beink Dreams : transformez vos croquis en quelques coups de crayons


Beink Dreams, startup créée en 2023, est une innovation fascinante dans le monde de l’art numérique. Ce logiciel permet de transformer des croquis simples en œuvres d’art réalistes grâce à des technologies avancées d’intelligence artificielle et de machine learning.


Ainsi, l’utilisateur esquisse rapidement une idée et le logiciel de Beink Dreams complète les détails, les ombres et les textures pour donner vie à des dessins uniques, de vrais œuvres d’art. Il analyse les traits de crayon et anticipe les intentions de l’utilisateurs. C’est un véritable gain de temps pour les professionnels qui peuvent ainsi transformer un croquis réalisé rapidement, lors d’une visite de chantier, par exemple, en un plan fini, prêt à présenter au client, et qui répond parfaitement à ses besoins spécifiques. Cela permet à l’entreprise de se démarquer face à la concurrence.


Portraits, paysages, créations imaginaires, le résultat est toujours surprenant de réalisme et de précision. Beink Dreams offre également une interface intuitive qui permet aux utilisateurs de peaufiner et d’ajuster leurs créations en temps réel. C’est une aide précieuse pour réaliser une vision artistique peu importe son niveau, débutant ou professionnel.
Beink Dreams allie créativité humaine et puissance technologique et redéfinit les frontières de l’art digital. Le processus devient ainsi plus accessible et rapide.

La commission de l’IA a rendu son rapport

Yousign qui offre une solution de signature électronique qui garantit la sécurité de vos données, tout en assurant leur conformité avec la législation en vigueur.Créée en septembre 2023, la commission de l’intelligence artificielle vient de partager ses conclusions pour l’amélioration de la compétitivité de la France en matière d’IA. Dans son rapport, la commission préconise plusieurs choses. La première est de créer un fonds de financement pour le développement de l’IA d’un montant d’au moins dix milliards d’euros. Les experts de cette délégation déclarent « les montants investis dans l’IA aux États-Unis sont aujourd’hui 20 fois supérieurs à ceux investis en France ».
Avec cette somme, on pourrait créer des centres de databases européens dont une partie serait utilisée à seule fin de calculs IA.

De plus, la nécessité de recruter et former des développeurs en intelligence artificielle s’impose pour les experts de la commission. Ils estiment le besoin à 56 000 postes en développement d’IA et 25 000 postes en déploiement d’IA par année sur les dix prochaines années.
Enfin, le dernier point concerne la régulation de l’intelligence artificielle qui doit être internationale, toujours selon ce rapport, afin de mettre en place une gouvernance mondiale de l’IA. Cette organisation agira sur 3 axes :
– l’établissement de normes contraignantes et de standardisation des systèmes d’IA ;
– le reporting et l’audit sur l’avancement et l’évolution de l’IA et ses impacts ;
– la décision des «orientations stratégiques pour des projets d’intérêt général mondial, par exemple en matière d’outils d’IA au profit de la transition environnementale ».

Microsoft Securité Copilot, disponible pour tout le monde dès avril

Logo éditeurs Microsoft

Si cette solution Microsoft a été mise à disposition à quelques clients privilégiés depuis le mois d’octobre 2023, elle est maintenant disponible depuis le 1er avril 2024 à l’échelle mondiale. Sécurité Copilot fait appel à l’IA pour aider les analystes en cybersécurité. Cet assistant virtuel leur permet de gagner du temps (environ 22 %) sur des tâches telles que l’analyse de scripts ou de rapports d’incident. Quatre grands axes d’analyse et d’usage de Sécurity Copilot ont été identifiés par Microsoft à la suite des accès anticipés : l’analyse d’impact, de scripts, le résumé d’incident et les conseils de réponse guidée. Il est possible de converser en français, anglais, allemand, italien, espagnol, portugais, japonais et chinois avec cet assistant IA.

L’offre est commercialisée non pas par un système d’abonnement, mais en fonction de la consommation. Ainsi le temps d’utilisation s’adapte au besoin et facturé mensuellement à raison de 4 dollars de l’heure. Un « modèle de tarification flexible et basé sur la consommation, vous pouvez démarrer rapidement, puis adapter votre utilisation et vos coûts en fonction de vos besoins et de votre budget », comme le met en évidence l’éditeur sur son blog.

IA : suivez le guide

Stéphane Roder, du cabinet de conseils AI Builders vous offre un guide pratique pour tout comprendre de l’Intelligence artificielle et ce qu’elle peut apporter aux entreprises. Dans son livre, il répond à toutes les interrogations que nous pouvons avoir sur l’IA, en explique l’origine et les secrets technologiques tout en intégrant le potentiel que son utilisation en entreprise implique pour leur développement.
Il rappelle ainsi que l’IA générative n’est pas née en 2022 avec ChatGPT mais ets une extension de tous les développements réalisés depuis les années 1950, en passant par les machines learning, les deep learning, l’IA générative et maintenant les LLM (les modèles de langages basés sur l’intelligence artificielle).
Puis, Stéphane Roder explique les transformations que l’IA peut générer dans les métiers de l’entreprise en exposant des cas d’usage notamment dans les secteurs des RH, de la supply chain, des achats, du juridique, des finances ou encore de la DSI. Il éclaircit ainsi les enjeux pour les entreprises dans la transformation de leurs processus et organisations.
Cette réédition de l’ouvrage “Guide pratique de l’intelligence artificielle dans l’entreprise » replace ChatGPT et autres IA à leur place d’outils déterminants pour les aider à gagner en productivité et évolution plutôt qu’une menace.

Consortium américain pour la sécurisation de l’IA

people business meeting 1979261Plus de 200 entreprises et autres organismes, dont Amazon.com, OpenAi, Google, Visa, l’université Duke, se sont réunis avec le gouvernement américain dans un consortium chargé de la mise en place de garde-fous pour réguler l’utilisation de l’intelligence artificielle, mais également son développement.

Le but de ce consortium est de veiller « à ce que l’Amérique soit en tête de peloton », déclare Gina Raimond, secrétaire au Département du Commerce américain.

Cette réglementation est une nécessité comme l’indique l’un des premiers décrets américains de l’administration Biden : « L’exploitation de l’IA pour le bien et la réalisation de ses innombrables avantages exigent que l’on atténue les risques considérables qu’elle comporte », i« Cette entreprise appelle à un effort de toute la société, qui inclut le gouvernement, le secteur privé, le monde universitaire et la société civile ».

Les législateurs travaillent sur différents textes de loi notamment autour de normes d’utilisation, de la cybersécurité, du développement des outils d’IA pour un déploiement sécure. Ceci est d’autant plus d’actualité après les débats entre pro et anti IA, d’un côté avec les inquiétudes partagées par des personnalités publiques telles que Elon Musk ou Stephen Hawking, craignant la prise de contrôle du monde par l’IA. De l’autre, Marc Endreessen déclare que la menace est exagérée privilégiant la « panique morale » du grand public alors qu’à son avis, l’IA pourrait sauver le monde.

La SNCF présente ses projets numériques

Lors de la dernière conférence de presse de la société ferroviaire de son lab numérique 574 (le nombre n’a pas été choisi au hasard pour cette unité de recherche et développement numérique de la SNCF puisqu’il s’agit du nombre de kilomètres/heure record de son TGV), à Saint Denis, le PDG de l’entreprise française a annoncé que sa société était à un tournant décisif d’histoire l’histoire de son activité en préambule de sa présentation. Avec un accroissement de 4 % de trafic dans ses TGV et de 8% pour ses TER, le chemin de fer séduit toujours autant les voyageurs français.
Dans le but de toujours améliorer ses services la SNCF développe sa présence numérique en s’appuyant sur le pilotage à distance, l’IA ou encore Iot, entre autres. On en voit la progression notamment avec son projet Argos qui vise à l’informatisation de ses postes d’aiguillage et à automatiser la gestion des espacements entre les trains.
De nombreux autres projets ont la même composante de cœur, à savoir, réduire l’empreinte carbone de l’entreprise en développant des outils lui permettant la gestion de remplissage des trains ou encore d’organisation des transports. Pour la sécurité des voyageurs, l’équipement des trains de la vidéosurveillance est aussi une de ses priorités.
En bref, de nombreux projets sont en cours de développement pour faire du transport ferroviaire un mode de déplacement privilégié et sécurisé.

Fairly Trained certifie les IA respectueuses des droits d’auteur

ia machine learning

Fairly Trained, fondée par Ed-Newton Rex, ancien vice-président audio chez Stability AI, se positionne comme une entreprise certifiant les modèles d’IA générative respectueux des droits d’auteur. Cette initiative intervient dans un contexte où le débat sur l’utilisation des données protégées par le droit d’auteur pour l’entraînement des systèmes d’IA générative fait rage entre créateurs et entreprises. Fairly Trained propose une certification, baptisée “L Certification” ou “Licensed Model Certification”, visant à attester que les entreprises respectent le consentement des créateurs en n’utilisant pas d’œuvres protégées sans licence.

Ed-Newton Rex a lancé cette entreprise après avoir quitté Stability AI en raison de préoccupations concernant l’utilisation de données de droits d’auteur dans l’entraînement des systèmes d’IA générative. Des personnalités influentes, dont Tom Gruber, co-fondateur de Siri, et Maria Pallante, présidente de l’Association of American Publishers, font partie des conseillers de Fairly Trained.

La certification exige que les données d’entraînement soient fournies au développeur conformément à un accord contractuel, disponibles sous licence ouverte, dans le domaine public mondial, ou appartenant entièrement au concepteur du modèle. Les entreprises candidates doivent suivre un processus de due diligence en matière de données et conserver ces dernières. Fairly Trained propose un processus de candidature en ligne, suivi d’une évaluation et de frais de certification annuels variant de 500 à 6 000 dollars selon le chiffre d’affaires de l’entreprise.

La jeune structure a déjà certifié huit startups, soulignant que la certification peut être annulée si les pratiques de données de formation changent après l’obtention du certificat, et se réserve le droit de retirer la certification en cas de nouvelles informations sur les pratiques contraires à ses règles.

Les actualités intelligence artificielle (IA) de 2023 :

IA : quand la science-fiction rejoint la réalité

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D’après une étude récente sur l’IA, orchestrée par Redwood Researsh, prétend que les logiciels de LLM (modèles de langages) comme ChatGPT peuvent cacher des messages codés lors de leur génération de réponse. Ce serait le cas lors de l’exploitation par l’IA des modèles de raisonnement par chaîne de pensées.

L’IA serait capable de contourner la fonction permettant la transparence de sa réflexion étape par étape et ainsi créerait une couche de communication leur permettant de décoder ces informations pour une utilisation ultérieure et ainsi rendre des conclusions plus précises la fois suivante. Ce raisonnement serait un code caché lisible seulement par les intelligences artificielles et pas par l’homme.
Si l’humain cherche à comprendre comment raisonne ce modèle de prise de décision, cette compétence imprévue de l’IA pose question et soulève quelques inquiétudes au niveau de la transparence de ce processus décisionnel artificiel.

Les chercheurs sont à pied d’œuvre pour trouver un système de paraphrase des résultats de l’IA et ainsi mettre à jour ces messages codés.
Rappelons tout de même ici que cette étude n’a pas encore reçu l’aval de ses pairs, et que les principaux acteurs du marché de l’IA n’ont pas encore réagi à ce propos.

L’IA à la rescousse de la Cité de la musique – Philharmonie de Paris

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Plus précisant, la cité de la musique a décidé de faire appel à l’intelligence artificielle pour la mise en valeur de sa bibliothèque numérique. En effet, avec des milliers de vidéos de concerts, d’enregistrements de conférences et autres vidéos, l’indexage de ces documents est un travail titanesque. « Faute de temps, les documentalistes n’ont pas le temps d’indexer en profondeur les enregistrements vocaux, comme les conférences », regrette Rodolphe Bailly, adjoint au pôle ressource de la philharmonie.
C’est donc pour cela que ChatGPT entre en action, d’abord pour une durée d’un an, et a été choisi pour permettre la transcription des conférences audio. Cela est possible grâce à un financement de 65 000 euros de la part du ministère de la Culture. L’estimation en temps pour la transcription de ces 1 000 fichiers audio est d’une cinquantaine d’heures. Ensuite, viendra la classification par thème, la cartographie des sujets abordés ainsi que l’indexage des œuvres, lieux et personnes.
Pour finir, et selon la qualité des résultats, tout cela devra être disponible pour l’internaute via une interface encore en réflexion. Mais R. Bailly a espoir d’offrir à son public un outil de navigation par thème, et permettant de faire défiler les vidéos facilement.

Oracle Prévoit une Croissance Explosive dans le Cloud grâce à l’IA Générative : Anticipation de 29 % à 31 % de Croissance au Deuxième Trimestre Fiscal 2024

Oracle

Au deuxième trimestre fiscal de 2024, Oracle anticipe une croissance substantielle de son chiffre d’affaires dans le domaine du cloud, avec une augmentation prévue entre 29 % et 31 %. Cette prévision contraste nettement avec la croissance à un seul chiffre attendue pour ses autres activités.

Larry Ellison, président exécutif et directeur de la technologie d’Oracle, a souligné le rôle transformationnel de l’IA générative lors de la présentation des résultats du groupe. Oracle mise sur une forte demande de données, principalement liée à l’IA générative, pour stimuler ses revenus à court et moyen terme. Les entreprises reconnaissent de plus en plus l’importance de l’IA générative pour accroître leur productivité et leur efficacité, ce qui se traduit par une demande croissante. Larry Ellison a mentionné que des contrats d’une valeur de plus de 4 milliards de dollars ont déjà été signés pour l’achat de capacité de formation dans le cloud Generation 2 d’Oracle, soit le double de ce qui avait été réservé précédemment.

Selon Ellison, cette demande devrait perdurer car les entreprises auront besoin de continuer à fournir des données pour maintenir la pertinence de leurs modèles d’IA, ce qui entraînera une demande constante pour les offres d’Oracle en matière de formation, d’inférence et d’ancrage des modèles. Cette tendance devrait également stimuler la demande pour les bases de données d’Oracle, en particulier les bases de données vectorielles, qui permettent le stockage de données spécialisées tout en préservant l’anonymat et la confidentialité.

Oracle prévoit également d’augmenter ses revenus dans le domaine de l’IA générative pour faire face à la concurrence d’acteurs majeurs tels qu’AWS, IBM, Google Cloud et Microsoft.

Au premier trimestre de l’exercice 2024, Oracle a enregistré une croissance de 9 % de son chiffre d’affaires total, atteignant 12,5 milliards de dollars, avec un bénéfice net en augmentation de 56 % par rapport à l’année précédente, atteignant 2,4 milliards de dollars. La croissance du chiffre d’affaires est principalement attribuée aux ventes totales cloud de l’entreprise, qui ont augmenté de 30 % en glissement annuel pour atteindre 4,6 milliards de dollars. Les revenus de l’IaaS ont également connu une croissance remarquable de 66 %, atteignant 1,5 milliard de dollars.

Le chiffre d’affaires des applications cloud a progressé de 15 % en glissement annuel pour atteindre 3,1 milliards de dollars. Au cours du trimestre précédent, l’entreprise a généré un chiffre d’affaires total de 13,8 milliards de dollars, dont 4,4 milliards de dollars provenant des ventes d’applications dématérialisées.

Oracle prévoit d’étendre son partenariat avec Microsoft, permettant aux clients Azure d’utiliser plus facilement la technologie de base de données Oracle cloud en combinaison avec les services cloud de Microsoft. Larry Ellison a également mentionné que l’unité Cerner Health devrait obtenir deux nouveaux contrats importants d’une valeur totale de plus d’1 milliard de dollars au cours du trimestre actuel.

L’essor du numérique avec Edge Computing

Dans un contexte d’industrie 4.0 en plein essor, l’IA, les jumeaux numériques et l’analyse des données en temps réel se présentent comme les piliers essentiels pour propulser l’usine du futur. L’utilisation du Edge Computing, de l’intelligence artificielle et de l’apprentissage automatique permet aux entreprises d’exploiter pleinement le potentiel des données en temps réel, de renforcer la prise de décision et de stimuler l’innovation. Cependant, la gestion du volume croissant de données et les défis de cybersécurité nécessitent des solutions robustes pour garantir le succès de cette évolution vers le « Smart manufacturing ».

En alliant l’IA et le Edge Computing, les entreprises bénéficient de multiples avantages, tels que l’amélioration des processus de fabrication, la maintenance prédictive, la gestion de la qualité et la sécurisation des équipements. Ces technologies permettent d’optimiser les opérations industrielles tout en relevant les défis liés à la gestion des données en périphérie. Pour assurer le succès de cette transformation, les entreprises doivent mettre en place une infrastructure solide en s’appuyant sur des solutions d’IA validées en ingénierie. Les scénarios courants du Edge Computing dans le secteur industriel incluent la connectivité des collaborateurs, l’efficacité des équipements, la maintenance prédictive et la réalité augmentée, qui contribuent à la conception de produits innovants, durables et compétitifs pour les fabricants

Monday.com  : une approche innovante

Monday.com

Monday.com est un éditeur d’ERP basé à Tel Aviv, connu pour son Work OS basé sur le cloud, qui propose une plateforme logicielle collaborative pour les entreprises. Avec une vue panoramique depuis son siège situé au 34ème étage d’une tour à Tel Aviv, l’entreprise adopte une approche innovante du travail en favorisant la transparence et l’ouverture avec des espaces de travail décloisonnés. Elle vise à offrir une visibilité à 360 degrés aux organisations, facilitant ainsi la prise de décisions à distance grâce à une plateforme flexible et ouverte. En pleine expansion, Monday.com compte 186 000 clients payants dans le monde et cherche à renforcer sa notoriété avec une campagne publicitaire en Europe, notamment en France, considérée comme un marché stratégique.

Monday.com, pionnier des solutions “low code, no code”, mise sur l’engouement pour le télétravail et la transformation numérique pour attirer de gros clients. L’entreprise prévoit également de lancer un programme d’intelligence artificielle en 2023 pour améliorer sa plateforme. Avec une croissance de 85% de sa clientèle en France en seulement un an, l’entreprise s’appuie sur un écosystème de partenaires locaux pour consolider sa présence sur le marché français. Monday.com se positionne comme un précurseur du modèle “product-led growth”, mettant l’accent sur l’utilisateur final, et aspire à devenir un acteur incontournable dans le domaine de la gestion de projets et de la collaboration.

Les actualités intelligence artificielle (IA) de 2022 :

Les préparatifs de la réglementation : Un aperçu de ce qui attend les entreprises alors que l’Europe cherche à gérer les risques liés à l’IA

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Les entreprises anticipent l’application de la future réglementation européenne dans le domaine de l’intelligence artificielle, l’UE cherchant à gérer les risques liés à l’IA.

L’Oréal, Malakoff Humanis et Orange France font partie d’un groupe d’entreprises qui ont uni leurs forces pour créer le label Positive AI. Cette initiative vise à participer à l’élaboration des futures exigences éthiques liées à l’utilisation de l’intelligence artificielle.

Le communiqué de presse explique que Positive AI fournit un cadre clair et transparent que les entreprises doivent suivre lorsqu’elles utilisent des technologies d’IA. Il repose sur trois valeurs principales : la responsabilité, la transparence et la sauvegarde. La responsabilité signifie que les entreprises doivent tenir compte de leur impact social et des questions éthiques soulevées par l’IA. La transparence signifie que les consommateurs doivent être pleinement conscients de la manière dont l’IA est utilisée dans les produits ou services de chaque entreprise.

Enfin, la sauvegarde signifie que les entreprises doivent être en mesure de démontrer qu’elles respectent les obligations légales liées à la protection des données ou de la vie privée des consommateurs.

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