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La facturation électronique deviendra obligatoire en 2024
Lors de la commission européenne du 17 janvier 2022, il a été décidé que la France pourra imposer aux entreprises l’utilisation de la facture électronique à partir du 1er juillet 2024. Toutes les entreprises sur le territoire français auront donc l’obligation de recevoir des factures en version électronique. Sans les outils adaptés, la procédure risquerait devenir chronophage.
Qui est concerné par cette nouvelle réforme ?
Toutes les entreprises seront concernées. La réforme sera appliquée à partir du 1er juillet 2024 pour les grandes entreprises (5000 salariés et plus), à partir du 1er janvier 2025 pour les ETI (250 salariés et plus) et à partir du 1er janvier 2026 pour les autres organisations. Même les autoentrepreneurs et les microentreprises non assujettis à la TVA devront s’y préparer. Cela dit : à compter du 1er juillet 2024, toutes les entreprises en France devront accepter de recevoir les factures en version numérique.
Pour lutter contre la fraude, les informations suivantes doivent être inscrites dans les factures électroniques : identification du client, prix hors taxes, taux de TVA, totaux TTC et HT, biens ou prestations facturés…
Qu’en est-il des consommateurs ?
La réforme cible uniquement les transactions BtoB. De ce fait, l’e-invoicing ne sera pas obligatoire non seulement pour les échanges BtoC, mais également pour les émissions de factures à destination d’une société en dehors de la France.
Quelles sont les nouveautés et innovations des logiciels de facturation attendues en 2024 ?
Afin de vous aider dans cette tâche, les logiciels de facturation proposent déjà un grand nombre de fonctionnalités, parmi lesquelles la gestion de la TVA, le suivi des clients, l’intégration des solutions de paiement électronique, les applications mobiles ou encore le reporting.
Des nouveautés pourraient également arriver ou se renforcer dès 2023. Le robot comptable est déjà là, avec Pegg, lancé par Sage. Ensuite, Xero a amené Xero Messenger, sa propre applicationSe dit souvent application mobile. Se télécharge à titre gratuit ou payant depuis le système d’exploitation d’un smartphone ou d’une tablette.. Ces outils permettent de s’intégrer aux applications de messageries instantanées et conservent un historique des transactions financières. L’utilisateurPersonne qui consomme et/ou se sert d’un produit et/ou utilise une prestation de service. peut communiquer avec le robot et lui demander des renseignements. Cela rappelle sensiblement la façon dont on peut interagir avec un ami dans les applications de messageries instantanées, comme Discord, Facebook Messenger ou encore Slack.
Le CloudSe dit aussi Cloud Computing. Espace virtuel accessible à partir d’internet utilisé par exemple pour le stockage d’informations. Access Security Broker, ou CASB, devrait aussi se renforcer. Mais que se cache-t-il derrière ce terme un peu barbare ? C’est en fait un agent de sécurité des accès au CloudSe dit aussi Cloud Computing. Espace virtuel accessible à partir d’internet utilisé par exemple pour le stockage d’informations.. C’est un point de contrôle pour analyser l’activité de l’utilisateurPersonne qui consomme et/ou se sert d’un produit et/ou utilise une prestation de service. sur l’applicationSe dit souvent application mobile. Se télécharge à titre gratuit ou payant depuis le système d’exploitation d’un smartphone ou d’une tablette. cloudSe dit aussi Cloud Computing. Espace virtuel accessible à partir d’internet utilisé par exemple pour le stockage d’informations.. Le CASB peut être vu comme celui qui fait respecter l’ensemble des règles mises en place par les administrateurs de services cloudSe dit aussi Cloud Computing. Espace virtuel accessible à partir d’internet utilisé par exemple pour le stockage d’informations.. Il vérifie par exemple les connexions effectuées selon l’emplacement, ou encore l’horaire. Ainsi, le CASB pourra par exemple restreindre l’accès si une connexion, si elle a lieu hors du périmètre d’accessibilité.
Encore une fois, l’intelligence artificielle est amenée à jouer un rôle majeur dans la modernisation des logiciels de facturation. Elle pourra par exemple jouer un rôle de premier plan dans l’examen et l’approbation des factures. Cette tâche, particulièrement chronophage et fastidieuse, pourrait être effectuée de façon plus rapide et peut-être plus rigoureuse par l’intelligence artificielle. La gestion des données devrait aussi connaitre un nouveau souffle. Le fait d’avoir accès à un grand nombre de données permettra de prendre des décisions plus stratégiques pour le futur.
L’expérience client pourrait aussi être améliorée, via différentes interactions avec le client, centralisées sur une seule plateforme. Dans ce sens, devraient se développer ou se renforcer le chat de messagerie instantanée, les appels vocaux, les appels vidéo, les messages texte, les publications sur les réseaux sociaux…
Le futur myAE : le nouveau myAE est en chargement
D’importantes innovations vont être apportées à la solution myAE, le logiciel de facturation électronique dédié aux autoentrepreneurs et aux micro-souhaitant développer leur entreprise. Est-ce que ce grand changement a un rapport avec la nouvelle réforme sur l’obligation de l’émission des factures électronique prévu en 2024, ou est-ce juste une pure coïncidence ?
Après de longues périodes de services auprès de ses utilisateurs, le logiciel myAE que vous connaissez va connaître une refonte intégrale. Sans surprise, toutes les nouveautés seront dévoilées dans un Webinaire exclusif entièrement dédié à la nouvelle version du logiciel. Nous présentons ci-après, les sujets qui seront abordés lors de ce rendez-vous :
- Les objectifs de la refonte totale du logiciel : pourquoi un tel changement
- Les nouvelles formules et fonctionnalités : découvrir les nouveaux avantages pour votre entreprise
- Le bon déroulement et le contexte des changements
- Ce qu’impactera cette refonte