La société UBER a initié un modèle économique où toute personne connectée à internet peut trouver à tout moment le service de proximité dont il a besoin. L’ampleur du phénomène est telle qu’elle a abouti à la création du néologisme : uberisation de l’économie.
Des milliers de PME du secteur tertiaire ont vu leur activité se transformer grâce au digital en créant une application mobile ou en adhérant à une plateforme. Ce sont ainsi des plombiers, professeurs, coiffeurs, masseurs, pressings, gardes d’enfant, traducteurs, graphistes etc…qui peuvent proposer leurs prestations à un panel illimité de clients.
Le digital est partout : ce n’est plus le client qui se rend en boutique mais plutôt le produit qui vient à lui et les réseaux sociaux jouent un rôle essentiel dans cette démarche.
Quasiment toutes les activités commerciales sont impactées.
Que ce soit :
- la boutique de quartier qui décide de mettre en place un site marchand pour ses produits,
- un restaurant,
- un commerce alimentaire,
- ou une grande marque de luxe,
l’offre de produits de consommation est omniprésente sur les réseaux sociaux incontournables que sont Facebook, Instagram, Twitter, Youtube etc…
Résultats pour le chef d’entreprise ? La masse d’informations disponibles en temps réel, et provenant de sources croisées, concernant les habitudes d’achat permet de prendre des décisions rentables. C’est l’atout du Big Data. Les fabricants connaissent pratiquement en temps réel les habitudes de consommation de leurs clients. Et ce grâce aux cartes de fidélité, à l’analyse des pages internet visitées. En retour, ils leur suggèrent ensuite des actes d’achat par mailing, sms ou via les réseaux sociaux.