La robotisation des processus de préparation de commandes : une nouvelle manière de répondre à l’explosion du e-commerce.
Face à la demande croissante des consommateurs, le processus de préparation de commandes s’avère être l’étape fatidique qui agit sur la productivité globale de l’entrepôt logistique. Optimiser cette étape constitue donc le facteur principal qui permettra aux entreprises de rester compétitive et s’inscrire dans la durée.
Dans le processus de préparation de commandeIntention verbale ou écrite d’initier une transaction commerciale pour un produit ou un service. D’un point de vue vendeur, c’est une commande de vente. D’un point de vue acheteur, c’est une commande d’achat., les entrepôts logistiques font face au véritable défi qui est d’augmenter le nombre de commandes préparées par opérateur et par heure, tout en limitant au maximum les erreurs durant les trois étapes clefs du processus : le prélèvement, le tri et l’emballage, et cela en préservant les conditions de travail.
Ces étapes sont historiquement réalisées manuellement par des préparateurs de commandeIntention verbale ou écrite d’initier une transaction commerciale pour un produit ou un service. D’un point de vue vendeur, c’est une commande de vente. D’un point de vue acheteur, c’est une commande d’achat.. Cependant, face à une augmentation du volume des commandes, des références et une pression constamment grandissante sur les temps de livraison, l’efficacité des préparateurs de commandeIntention verbale ou écrite d’initier une transaction commerciale pour un produit ou un service. D’un point de vue vendeur, c’est une commande de vente. D’un point de vue acheteur, c’est une commande d’achat. s’en voit affectée et les entrepôts font face à une diminution de la productivité accompagnée d’une augmentation des erreurs humaines. Pour pallier à cela, l’automatisationExécution d’une tâche, dans sa totalité ou en partie, par une machine sans besoin de l’intervention humaine. de ce processus clef de préparation de commandeIntention verbale ou écrite d’initier une transaction commerciale pour un produit ou un service. D’un point de vue vendeur, c’est une commande de vente. D’un point de vue acheteur, c’est une commande d’achat. s’est imposée au cours des dernières années avec deux techniques approuvées : le « Man to goods » et le « Goods to man ».
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Le « Man to goods » est le procédé selon lequel le préparateur de commandeIntention verbale ou écrite d’initier une transaction commerciale pour un produit ou un service. D’un point de vue vendeur, c’est une commande de vente. D’un point de vue acheteur, c’est une commande d’achat. se déplace vers l’article commandé dans son emplacement logistique, tout en bénéficiant d’une assistance se matérialisant par la présence d’un lecteur code barre et d’indications sur l’emplacement et la quantité des articles : « Pick by list », d’afficheurs sur les différents emplacements : « Pick to light » ou encore un casque lui communiquant les informations sur les emplacements et les quantités : « Pick by voice ».
Ces trois techniques d’automatisationExécution d’une tâche, dans sa totalité ou en partie, par une machine sans besoin de l’intervention humaine. façon « Man to goods » ont permis une amélioration des résultats, notamment grâce à l‘assistance à la recherche des articles dans l’entrepôt. Cependant, les déplacements des préparateurs de commandeIntention verbale ou écrite d’initier une transaction commerciale pour un produit ou un service. D’un point de vue vendeur, c’est une commande de vente. D’un point de vue acheteur, c’est une commande d’achat. étant conséquents, une autre solution d’automatisationExécution d’une tâche, dans sa totalité ou en partie, par une machine sans besoin de l’intervention humaine. a fait surface pour les réduire et s’est avérée encore plus efficace, le « Good to man ».
A l’inverse du « Man to goods », la technique du « Goods to man » amène les articles vers le préparateur de commandeIntention verbale ou écrite d’initier une transaction commerciale pour un produit ou un service. D’un point de vue vendeur, c’est une commande de vente. D’un point de vue acheteur, c’est une commande d’achat. avec l’utilisation de plateaux tournants rotatifs (stockage rotatif vertical), de « miniload » (Transtockeur) se déplaçant entres les allées de l’entrepôt ou encore de navettes (shuttle).
Ces différentes méthodes d’automatisationExécution d’une tâche, dans sa totalité ou en partie, par une machine sans besoin de l’intervention humaine. ayant été éprouvées avec des augmentations observées de l’efficacité et de la productivité des entrepôts, notamment avec la méthode du « Goods to man », certaines idées ont émergé récemment, dans le but d’améliorer considérablement cette technique. La clef est désormais la robotisation des processus de préparation de commandes, avec l’arrivée de robots mobiles pouvant se localiser et se déplacer de manière autonome et coordonnée dans les entrepôts tout en assistant les préparateurs de commandes. Ces robots, pouvant fonctionner par flottes, sont capables de se glisser sous les étagères de stockage et transporter un chargement de produits.
Les grands avantages que représentent la robotisation par rapport aux méthodes connues sont leur modularité : les robots peuvent être rapidement opérationnels ; leur flexibilité : ils peuvent s’adapter aux flux de l’entrepôt en temps réel grâce à l’intelligence artificielle ce qui entraine une augmentation de la productivité des préparateurs de commandeIntention verbale ou écrite d’initier une transaction commerciale pour un produit ou un service. D’un point de vue vendeur, c’est une commande de vente. D’un point de vue acheteur, c’est une commande d’achat. et un retour sur investissement deux fois plus rapide.
La robotisation des processus de préparation de commandes, potentiel en développement, n’étant pas encore déployée à grande échelle dans les entrepôts, elle constitue une opportunité majeure pour gagner en compétitivité.
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